Uluwatu et la dance kecak

Autant le dire tout de suite, c’est (très) touristique et bizarre! Si tu es plutôt du genre “nike air Jerusalem” et visites authentiques (le tout agrémenté de quelques dreaklocks et armé d’un gros Canon dont tu connais tout les réglages du mode manuel), passe ton chemin.

Bon, pour les autres bofs, voici la suite du billet 🙂 (et vous noterais que je m’inclue dans le lot, aillant moi-même expérimenté cette dance).

Uluwatu c’est joli. C’est très touristique, plein de singes “voleurs d’objets”, de bus de japonais mais c’est joli. La promenade le long du petit chemin sur la falaise est magnifique et une fois arrivé au bout la vue y est magique, c’est vrai.

Après avoir fait la visite du temple (qui entre nous se fait en moins de 10 minutes), vous serez peut-être tenté par cette super annonce de dance traditionnelle Kecak. Mais qu’est-ce que c’est que donc que tout ça? Et bien je suis obligé de faire appel à mon ami Wikipedia pour pouvoir vous répondre. Non c’est pas que je dormais pendant la représentation, mais je dois bien avouer que je n’ai rien compris ou presque, et que la feuille d’explication (traduite avec Google translate et pas vérifiée avant l’impression) ne m’a pas vraiment aidée. Bon alors allons-y:

“Le Kecak (prononcé “Ketchak”) est un choeur de percussions vocales balinais accompagnant originellement des transes lors de rituels. Sous le regard d’artistes occidentaux tels que Walter Spies dans les années 1930 ou plus récemment Maurice Béjart (hey, on le connaît bien lui), une forme spectaculaire non rituelle a été créée, incorporant des textes du Ramayana, un des écrits fondamentaux de l’hindouisme et de la civilisation indienne.

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Un chœur d’une centaine d’hommes raconte l’épisode où les singes aident le prince Rama à battre le démon Ravana pour récupérer sa femme Sita kidnappée par Ravana. Pour cela ils chantent de manière ininterrompue le distinctif “chak-a-chak-a-chak” et font des mouvements synchronisés autour des différents protagonistes de l’histoire qui interviennent au centre, entourés par le chœur. L’apogée de l’accompagnement qui va crescendo coïncide avec la victoire lors du combat.

Ce spectacle est atypique car dépourvu d’accompagnement instrumental, en l’occurrence le traditionnel gamelan à Bali. La pulsation est assurée par un des chanteurs du chœur.”

Alors, c’est plus clair là ? Pas vraiment?

Mais alors me direz-vous, pourquoi allez voir cette dance puisque je la descend en flèche? Et bien tout simplement car c’est une tradition balinaise, que ça ne tue personne de passer 1 à 2h assis en plein soleil (si vous arrivez tôt pour avoir une bonne place ou pas), que c’est parfois beau (même que vite lassant) mais surtout parce que vous aurez une vue imprenable sur le coucher de soleil derrière les artistes.

Alors si vous avez plus d’explications sur le sens de la dance, ou de meilleurs endroits où la voir à partager, ne vous gênez pas et laissez un commentaire.

4.7
A voir une fois si tu n'as pas peur des touristes

Les bonnes choses

  • Ca fait partie de la culture balinaise
  • Le coucher de soleil est magnifique

Les mauvaises choses

  • Difficile de comprendre le sens de la danse sans s'être renseigné avant
  • C'est un peu long (j'ai pas dit chiant hein...)

Score Breakdown


C'est rigolo?
2
C'est beau?
7
C'est bon marché?
5




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